L’équipe réactions antivirales et mécanismes effecteurs s’intéresse aux mécanismes de restriction, qui permettent de contrer la réplication virale dans les cellules infectées. Les insectes, avec plus d’un million d’espèces connues, soit 60% des espèces animales, représentent une ressource inexploitée de gènes antiviraux, dont l’étude pourrait révéler des points faibles dans le cycle des nombreux virus appartenant à des familles dont les membres infectent aussi bien des vertébrés que des invertébrés.
Afin d’identifier de nouveaux gènes antiviraux, l’équipe exploite la voie de signalisation STING, conservée au cours de l’évolution. Les projets menés par la dizaine de membres de l’équipe visent à :
Impliquée dans plusieurs collaborations internationales, l’équipe possède en outre une antenne au sein du Sino-French Hoffmann Institute for Immunology à l’Université Médicale de Canton en Chine, où J.-L. Imler est professeur invité.