Intranet
Acces
Contact
Environ 20 espèces de moustiques du genre Anopheles sont des vecteurs connus de Plasmodium, transmettant le parasite lors d’un repas de sang sur l’homme. Parmi eux, Anopheles gambiae est le principal vecteur du paludisme en Afrique subsaharienne. Surtout, les moustiques ne sont pas de simples aiguilles qui transmettent les parasites, ils combattent activement le parasite. Chez certains moustiques, le développement du parasite est même complètement bloqué tôt après l’infection, ce qui rend ces moustiques incapables de transmettre la maladie. Nous visons à comprendre la base génétique de la résistance / susceptibilité des moustiques à Plasmodium, et nous développons de nouveaux outils pour une transgénèse efficace des moustiques afin d’étudier les interactions moustiques-parasites.
Photos de gauche: Les parasites exprimant la GFP sont visibles sur l’intestin moyen d’un moustique de la souche sensible tandis que les moustiques de la souche résistante sont dépourvus de parasites vivants.
Photo de droite: larves transgéniques d’une souche que nous appelons «french kiss».
Le groupe et ses membres bénéficient actuellement d’un financement de: INSERM, CNRS, FUTURE INVESTMENT, ERC, ANR, INFRAVEC, FONDATION POUR LA RECHERCHE MÉDICALE.
